ci-dessus les diamants
ci-dessus les pays riches en eau et en consommation
ci-dessus les producteur d'or
ci-dessus les productions de blé ou de céréales
ci-dessus les productions de blé ou de céréales
ci-dessus les productions de vin
ci-dessus les productions et consommations de pétrole
Vous allez me demander mais que produit la France ?
Pourquoi toutes ces guerres...!
Les guerres et la bourse
Par Philippe Ventura, CFA le 10 septembre 2013
Aujourd’hui, la Russie a annoncé que la Syrie accepterait de faire détruire leurs armes chimiques, en échange d’un recul des menaces américaines.
La bulle spéculative d’une guerre potentielle au Moyen-Orient vient d’éclater. Heureusement.
Dernièrement, on me demandait mon opinion sur les conséquences sur les marchés boursiers qu’aurait une éventuelle attaque contre la Syrie.
Voici ma réponse :
Si j’ai des liquidités, j’attends de voir le premier signe convaincant que la situation géopolitique se calme. À ce moment, j’investis.
Si les frappes devaient avoir lieu, j’investirais mes liquidités dès que les gens se rendraient compte qu’il n’y aurait pas de 3e guerre mondiale.
Pour l’argent déjà investi, il n’y a rien à faire, car bouger impliquerait 2 choses : sortir au bon moment et rentrer au bon moment. C’est évidemment impossible, sinon, nous côtoierions que des milliardaires…
À l’heure actuelle, Assad a accepté l’offre de la Russie et le Dow Jones (DJIA) est en hausse de 109,51 points. Ceux qui seraient sortis par crainte d’une guerre potentielle auraient fort probablement cristallisé une perte à la sortie hâtive et auraient surement manqué les hausses subséquentes (« Quand réinvestir mes sous que j’ai protégés? »)
Les marchés adorent exagérer les mouvements et les tendances. Ce sont normalement des occasions en or pour profiter d’un point d’entrée.
Voici quelques graphiques qui démontrent bien les occasions en situation de conflits :
Guerre de Corée
Il n’a fallu que 2 mois après le début de la guerre de Corée pour retrouver l’ancien haut boursier.
Guerre du golfe
Quant à la guerre du golfe persique, la période houleuse a duré du 8 août 1990 au 1 mars 1991.
En ce qui concerne le 11 septembre, c’est la même formule :
Dow Jones :
Au 10 septembre 9 605 points
Au 21 septembre 8 235 points
Au 26 octobre 9 500 points.
Ou, encore, le Standard & Poor’s 500:
S&P500 le 11 septembre 2011
Par contre, ici, n’oublions pas que les bourses américaines étaient dans une tendance baissière généralisée à cette époque.
Un événement n’est qu’un point dans le temps. À moins d’une catastrophe nucléaire ou d’une épidémie virale (ex grippe espagnole), il est peu probable que le marché demeure baissier bien longtemps. Normalement, les investisseurs se rassurent que la vie continue son chemin et que tout se rétablit.
Dites-vous une chose : tant qu’il y aura plus de naissances que de décès, le monde, et donc, le marché, est en expansion. Investissement 101: ne réagissez pas émotivement.
Source: McClellan Financial Publications
Je post cela! pour mon prochain post, qui bien-sur parleras de l'Ukraine mais aussi de la Syrie.













